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Nous nous réjouissons, naturellement de la libération de madame Sophie PETRONIN la dernière otage française, mais vous avez certainement vécu comme la plupart de nos concitoyens, le spectacle désolant et regrettable de son accueil officiel à Paris...
Ayant reçu l’ordre, la veille au soir, de se concentrer à Sedan, l’armée française est, le 31 août, positionnée au nord et à l’est de cette ville. Au sud de ce dispositif se trouve le 12e corps d’armée du général Lebrun. Il a en charge la défense d’une zone dont la pointe sud correspond au village de Bazeilles.
À partir de 9 heures de matin, l’artillerie bavaroise, installée sur les hauteurs de Liry, commence à bombarder le village. Les premiers combats à l’intérieur du village opposent les 22e et 34e régiment d’infanterie de ligne aux troupes bavaroises. Face à un ennemi bien supérieur en nombre, le général Lebrun envoie en renfort la division d’infanterie de marine du général de Vassoigne.
L’hymne des troupes de marine a été écrit par le général Frey sur une musique de Paul Cappé. La légende veut que cet hymne ait été chanté pour la première fois sous les murs de Sébastopol en 1856. En fait il n’en ait rien, c’est plus tard que les marsouins introduisirent les faits d’armes de leurs anciens dans ce chant de marche écrit en 1896.
Le chant Marie Dominique, de Pierre Mac Orlan évoque, avec des accents mélancoliques, les rêves d'aventure et d'exotisme, ainsi que la découverte de l'Indochine du début du vingtième siècle, par un jeune soldat de marine.
La très belle et classique version chantée a capella est présente dans le site. Ici, il s'agit d'une version très originale, peu appréciée par l'auteur du site, car privée de sa mélancolie, mais illustrée par des photos du chef d'oeuvre de Pierre Schoendoerffer: la 317e section.
Toutes les armes et services de l’Armée de terre ont leur saint patron. Saint Georges pour les cavaliers, Saint Michel pour les parachutistes. Saint Luc pour le Service de santé des armées et bien d’autres encore. Il y a aussi des saintes: Sainte Geneviève pour les gendarmes, Notre dame du Rosaire pour les marins, Notre dame de Lorette pour les aviateurs.
Les Troupes de marine seraient-elles immodestes et auraient-elles poussé la vanité jusqu’à choisir Dieu pour patron? Il n’en est rien. C’est le bienheureux père Charles de Foucauld qui, voyant arriver des troupes coloniales à son secours alors qu’il vivait une situation critique, assiégé par des arabes hostiles, se serait agenouillé, aurait joint les mains et s’est écrié : « Au nom de Dieu vive la coloniale ».
Cette exclamation traditionnelle indispose certains élus.
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